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 Virginia Eloïse Bennett {U.C}

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MessageSujet: Virginia Eloïse Bennett {U.C}   Virginia Eloïse Bennett {U.C} EmptyVen 9 Jan - 0:05


Bennett ; Virginia, Eloïse
Virginia Eloïse Bennett {U.C} Img-09364266tkn
22 ans, né(e) à Londres le 11 Novembre 1912
Femme du Maire

Lucky Ones



    PSEUDO/PRENOM — Caroline
    FILLE OU GARCON — Fille
    NOM & PRENOM DE VOTRE CELEBRITE — Meester, Leighton
    DOUBLE-COMPTE — Non
    CODE DU REGLEMENTCode ok! edit Crys.
    COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM? — Par les admins.
    UNE SUGGESTION? — Rien à ajouter.



    [img][/img]
    _ RP n°2; votre titre ici.
      votre texte ici. 30 lignes complètes minimum.


Dernière édition par Virginia Bennett le Dim 25 Jan - 9:37, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Virginia Eloïse Bennett {U.C}   Virginia Eloïse Bennett {U.C} EmptySam 10 Jan - 23:55

    [img][/img]
    _ RP n°1; votre titre ici.
      L’église. Un lieu de paix, de quiétude et de prédilection. Comme chaque Vendredi de la semaine, Virginia rendit visite à Frère Isaac afin de se confesser de ses pêchers de la semaine. Un carré de chocolat en trop, une nuit passé avec son mari sans procréation à la clé. Certes, des actes futiles de la vie quotidienne et sans intérêt, mais tout de même mal perçu par l’église. La gourmandise et la Luxure sont bien des pêchés, n’est ce pas ?
      Virginia remit une de ses mèches de cheveux brune, à sa place avant de rentrer dans l’imposante bâtisse du seigneur, elle se dirigea tout droit vers le confessionnal, elle connaissait le chemin par coeur et aurait put s'y rendre les yeux bandés, ses talons claquant et résonnant contre la dalle de marbre froid. L’église était déserte, seul le feu d’une bougie qui se consument troublait la quiétude du lieu. La brunette rajusta son chandail, et s’installa dans le confessionnal, prête à déblatérer ses nouveaux pêchers.

      Près d’un quart d’heure plus tard, Virginia sortie absoute et le cœur léger, elle brûla un cierge, se mit à genoux devant Dieu, priant le ciel de lui accorder le bonheur et de protéger les enfants de Dieu. Discours habituel, d’une fille de bonne famille, le discours de la femme d’un des hommes les plus influent de la ville. Un discours si pieux pour la ville qu’est Vegas. Tandis qu’elle s’apprêtait à quitter l’église pour se rendre à l’hôpital le plus proche afin de faire un de ses habituels dons de la semaine, elle fut interpellée par Frère Isaac du haut d’un escalier.

      Virginia ?


      Elle se retourna, et lui adressa un large sourire chaleureux, remontant ses pommettes roses, passant une nouvelle fois une mèche derrière son oreille, son tic. Elle le regarda descendre majestueusement les imposantes marches de l’escalier, et se dirigeait droit vers elle. Une fois arrivée à sa hauteur, elle le salua d’une légère révérence empreinte de respect.

      - Frère Isaac, je ne vous ai pas entendu arriver. Je me réjouis de vous voir, comment vous portez vous ?

      - Et moi je ne vous ai point entendu entrer, lui répondit-il tout en s’emparant de sa main, un sourire confiant sur les lèvres. On ne pourrait mieux aller mon enfant, et les affaires également grâce au don que vous avez fait la semaine passée.

      Elle secoua la tête, gênée par tant de gratitude, ses joues rosirent et elle fixa un instant le sol. Elle posa à nouveau son regard brun sur le visage de Frère Isaac, et le gratifia d’un nouveau sourire en coin beaucoup plus discret que le précédant.

      - Ce n’est rien, c’est le moins que je puisse faire. Lucius et moi avons de l’argent à n’en savoir que faire, autant qu’il profite à quelqu’un et qu’il apporte le bonheur à d’autre.

      - En tout cas de nombreux orphelins vous doivent la vie, et je ne crois pas m’avancer en vous remerciant de leurs parts. Si je peux me rendre utile.

      - Ca ira, merci bien. Cependant je crois qu’il est tant pour moi de vous abandonner, je ne voudrais pas abuser de votre temps précieux et je dois me rendre à l’hôpital où des enfants malades m’attendent.
      - Très bien, A bientôt Mme Bennett, Saluez Lucius de ma part.


      Elle lui fit un dernier sourire, et rajusta son écharpe avant de sortir sous cette pluie battante, heureusement que son chauffeur ne l’attendait non loin de là avec la voiture familiale, elle se voyait mal courir sous cette pluie diluvienne avec ces escarpins, qu’ils lui faisaient horriblement mal au passage. Elle pourrait d’ailleurs sans débarrasser pendant un petit quart d’heure dans la voiture. A l’abri des regards, elle n’avait plus besoin d’être cette femme parfaite et généreuse qu’elle s’efforçait d’être. Certes œuvrer pour les pauvres, les démunis, les enfants malades et l’église étaient une bonne chose, et elle ne regrettait en rien ce geste, aider les autres faisait parti d'elle. Mais la solitude et l’ennui la pesaient. Il n’était pas rare qu’elle passe des nuits seules dans sa grande maison, Lucius étant beaucoup trop occupé à cause de son boulot, mais s’occuper d’œuvres caritatives à longueur de temps pour combler ce vide était parfois ennuyant. La plupart du temps, il ne consistait qu’a signer un chèque au prix exorbitant. Virginia malgré sa situation économique et le monde dans lequel elle vivait, s’ennuyer. Pensive, elle regarda le prêtre s’éloigner, et ce n’est que lorsqu’il tourna dans un couloir, qu’elle se résigna à quitter les lieux, après avoir jeté un dernier coup d’œil à la statue de Jésus qui surplombait l’église.

      "S’il vous plait, Seigneur, Faites que du renouveau et de la passion viennent ranimer notre couple. Nous nous aimons plus que tout, mais la routine me perdra. "

      Le regard fixant le sol de marbre, elle se dirigea les pieds traînant vers la sortie. A peine franchissait-elle la lourde porte en chêne massif qu’elle croisa l’homme qu’elle détestait certainement le plus au monde, elle ne put s’empêcher de rouler des yeux, lorsqu’elle l’aperçut du haut des marches. Edwin Hugues. Pas qu’il soit particulièrement repoussant au contraire, des yeux azur, une belle carrure, un visage aux traits fins et un sourire charmeur, rien qui ne puisse déplaire à la gent féminine. Et justement, il est tout ce qu’elle insupporte, un homme à femmes sans scrupule, un mauvais garçon qui ne pense qu’à assouvir ses désirs. Et si ce qu’elle pense s’avère être exacte, il ne serait pas contre qu’elle passe par la case Edwin’s Bed. Mais cela c’était hors de question, elle était bien trop élevée pour cela, et puis comment pourrait-elle finir avec un tel goujat, qu’elle méprise autant et qui ne serait pas la méritée, Lucius lui connaissait sa valeur. Et pourtant cet homme était un des homme les plus proche de Lucius, son époux. Elle releva la tête dignement, et l’observa du coin de l’oeil gravir les marches, les lèvres pincées, les yeux lançants des éclairs. Saurait bien évidemment était trop beau si, comme un docile agneau, il avait passé son chemin, sans l’interrompre, mais le voilà qu’il ouvrait déjà sa bouche pour la saluer. Du haut de son petit mètre 60, elle le regardait avec mépris et méfiance.

      - Mme Bennett, quel plaisir de vous croiser, commença-t-il en une mini révérence.

      - Mr Hugues, répondit-elle avec le plus de froideur qu’elle pouvait mettre dans sa voix, je vous avoue que ce plaisir, n’est pas partagée, continua-t-elle tout en passant une main dans ses mèches brunes.

      - Je n’en attendais pas moins de vous, mais appelé moi Edwin, je suis pratiquement comme un ami de la famille reprit-il tout en esquissant un sourire.

      Virginia ne se démonta pas pour autant, elle resta stoïque face à cette invitation aux relations amicales. Hors de question qu’elle lui donne du Edwin, il n’est qu’un des employés de son mari. Quant à lui, il ne pouvait s’empêcher de la regarder de haut en bas, tentant de découvrir se qui se cachait sous ses vêtements de laine. A l’heure actuelle, elle devait être l’unique femme de tout Vegas à être encore pure, la seule femme à aller à la messe, et à penser aux autres avant elle-même. Virginia était différente de toutes ces autres femmes et c’était cette candeur qui lui plaisait. Il était persuadé qu’en dessous de ces airs de petite fille bien élevée, se cachait une vraie femme.

      - Que faites-vous ici ?

      - Les mauvais garçons n’ont-ils pas aussi le droit de se repentir de leur pêchés et de leurs nuits passionnelles ?
      continua-t-il un sourire mesquin sur le visage tout en tournoyant autour d’elle tel un vautour.

      Virginia déglutit difficilement, elle commençait à se sentir mal-à-l’aise, il ne faisait que la provoquer. Le mieux était de coupé court à toute conversation ou du moins semblant de conversation, jamais elle n’aurait du lui adresser la parole, elle aurait mieux fait de se hâter et de passer son chemin, mais elle était bien trop polie pour ignorer quelqu’un de la sorte, aussi méprisable soit-il.

      - Sur ce, je suis pressée.


      Elle tourna sur ses talons et commença à descendre une ou deux marches, avant qu’il ne lui saisisse le bras et qu’il la retourne vers lui, un peu trop violemment à son goût. Il plongea son regard dans le sien, regard qu’elle soutint, il n’était pas question qu’il pense qu’elle était faible et qu'il pouvait la troubler et avoir un quelconque pouvoir sur elle, détourner la tête ne ferait que renforcer ses croyances infondées.

      - Cessez de jouer les vierges effarouchées, vous et moi savons pertinemment que vous bouillez intérieurement, alors lâchez-vous un peu, personne ne vous en voudra. Au contraire je pense que cela pourrait se révéler très excitant.

      Son regard toujours planté dans le sien, elle ne cilla pas, mais la lueur qu’elle lisait dans ses yeux la dégoûtait. D’un ton sec, elle lui ordonna de la lâcher. Joignant le geste à la parole, elle retira son bras de son emprise en un geste brusque et sec puis détala, rapidement sans se retourner. Cependant ses paroles n’étaient pas tombées dans l’oreille d’une sourde, se pouvait-il qu’il est raison ? Aurait-il réussi à formuler en si peu de mot ce qui ne tournait pas rond ? Cette révélation la déconcerta un minimum, mais s’efforça de le cacher. Sur le chemin qui la menait à l’hôpital, elle médita longuement sur la question, étouffait-elle vraiment ? Cela expliquerai bien des choses. Ses rêves d’aventures, son admiration pour Elsie alors qu’elle représentait tout ce qu’elle détestait. Une vie faite dans l’ombre, dans la pauvreté, une dépravée. Elle était tout son contraire, et malgré elle, elle ne pouvait s’empêcher de l’admirer, de rêver de sa vie, une vie où elle pourrait agir tel qu’elle le désirait et non selon des règles dictées de l’aristocratie. Lors de sa visite hebdomadaire aux enfants malades de l’hôpital, Mme Bennett fut distraite.


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